Les trois coups... (6)

Publié le par M. G.

 

Costumes

On va au bal « costumé » ou bien  on porte le « costume » de circonstance ; étymologiquement,  « costume » vient de « coutume » ; peut-être… à vérifier. En tout cas, la sonorité y est commune.
Attention ! « Déguisement » ne convient pas au théâtre ; il est préférable de l’employer pour le Carnaval ou autres…
« Le costume te sied, mais n’est pas du tout pratique ou fonctionnel ». –« En ce cas, laisse tomber, car tu dois pouvoir te mouvoir sans gêne. Si tu es engoncé dans tes habits, c’est l’entrave  probable à l’exercice déjà périlleux en soi. »
 « Combien faut-il de costumes pour un même personnage ?
- Ça se prépare, ça s’étudie dans les coulisses. Tout dépend de son évolution à travers les actes. »
Il faut trouver la bonne taille mais aussi, le bon tissu et le bon coloris.
« Où les trouver ? » -  Au marché local, aux compagnons d’ Emmaüs, au commerce de déguisements, dans la famille ou même chez le voisin, pourquoi pas.
Parfois le costume se réduit au minimum (de tissu, j’entends)  : un slip, un caleçon , un maillot de bain ; à vous de voir.
L’habit doit parfois être rapiécé, poussiéreux, usé… « Salis toi, mon vieux, salis toi ! » Chantait Michel le Sarde.
Le costume doit se marier avec celui du (ou de la) partenaire ; en conséquence, des précautions sont à prendre dans l’harmonie des couleurs ou des styles.
« Va te rhabiller ! » disait le public à l’arbitre…
 

 

Publié dans théâtraux

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