Poème précédent : Dépression Sous l’aune Pourquoi ai-je frappé au heurtoir de mon coeur Ouvrant les pages d’une monographie d’enfant ? Ces quelques gribouillis aux rayons de couleur Viennent soudain heurter mes souvenirs d’antan. A ciel ouvert mes yeux...

Dessin précédent : Regards sur l'actualité (C169) C170 Regards citoyens 22 octobre 2012

Article précédent : Les Exquis Mots (3/27) Arielle, Suzette, Justine « Arielle : Ma mère est morte j’avais 6 ans. Mon père était toujours absent, occupé par ses affaires. Alors j’ai été élevée par des gouvernantes guindées, des précepteurs coincés, entourée...

Article précédent : Un autre regard sur... Jean-Jacques ROUSSEAU (6) Un autre regard sur... Jean-Jacques ROUSSEAU par Henri GUILLEMIN ***************************************************** Préface d'Henri Guillemin au livre de Jean-Jacques Rousseau, "Les...

Article précédent : L'Adéenne N° 22 Article paru avant-hier dans la presse quotidienne.

Témoignage précédent : Témoignages (22) Mes horizons étaient teintés de mauve (Suite - 7) Laurence S. Eté 44, le jour de gloire arriva enfin. Libres ! Libres ! Nous étions Libres ! Ce mot résonnait en moi sans cesse, comme pour m’aider à mieux y croire....

Article précédent : Mots pour mots (ou maux) (6) RE TRAITE Retraité à retraiter mis en retrait. Ho lande, Ho des espoirs (désespoir) Ho montant de retraite ennemie, N’ai-je donc vécu que pour voir, en une vie Augmenter le nombre des non nanti ? Ne me...

Poème précédent : Un été à Séville Dépression Quand le plancher sablonneux de l’océan Eteint les mailles incandescentes De son filet géant Les yeux des requins hantent Les nuits écorchées d’un ciel Vêtu d’un linceul pestilentiel Alors la lune engloutie...

Dessin précédent : Regards sur l'actualité (C168) C169 Regards citoyens 15 octobre 2012

Article précédent : Les Exquis Mots (3/26) Arielle, Suzette, Justine « Justine : Mme Delco, ce grog, il déménage. J’ai la gorge en feu. Arielle : Pour être costaud, c’est costaud. Qu’est-ce que vous mettez dans votre breuvage ? Suzette : Oh rien de compliqué...