La « boucle » est bouclée…
Le tour de France cycliste 2008 s'est terminé hier,
à Paris, par tradition maintenant, sur les Champs-Elysées.
Beau final pour tous les coureurs qui y parviennent !
Le vainqueur de cette « boucle » est Carlos SASTRE, un ibérique.
Disons aujourd'hui, par prudence, qu'il a gravi, ravi,
la plus haute marche du podium tant convoité.
Moyenne générale de l'épreuve : plus de 40 km/h (40,492 km/h).
Epoustouflant, non ? La cinquième meilleure moyenne atteinte !
Constat : ils roulent toujours aussi vite avec autant de difficultés !
Dans ces conditions, les « soupçons » peuvent-ils vraiment disparaître ?
Certes, « n'est-ce pas dans le cyclisme, le cyclisme d'abord, surtout,
qu'est menée, avec obstination, courage, la lutte contre le dopage ? »
Bien que cet argument soit avancé en guise d'explication défensive,
Il n'en est pas moins réel, moins pertinent, moins éloquent ?
Qui prétendrait, avec l'assurance du bon sens, que, seul, unique,
ce secteur sportif soit effectivement touché, contaminé par ce phénomène ?
L'unanimité, comme lors de quelques récentes discussions à plusieurs,
ne se réalise-t-elle pas immédiatement au contraire sur le fait, entendu,
que nombre de sportifs d'autres disciplines y sont confrontés ?
Sans parler des performances intrinsèques, au vu du changement,
souvent très rapide, de la morphologie de certains athlètes,
comment ne pas rester rêveur, ne pas s'interroger sur l'abus de « quintonine » ?
Espérons tout de même que cette « grande boucle » restera bouclée...
et que l'actualité, après délais, ne la rattrapera pas...
à Paris, par tradition maintenant, sur les Champs-Elysées.
Beau final pour tous les coureurs qui y parviennent !
Le vainqueur de cette « boucle » est Carlos SASTRE, un ibérique.
Disons aujourd'hui, par prudence, qu'il a gravi, ravi,
la plus haute marche du podium tant convoité.
Moyenne générale de l'épreuve : plus de 40 km/h (40,492 km/h).
Epoustouflant, non ? La cinquième meilleure moyenne atteinte !
Constat : ils roulent toujours aussi vite avec autant de difficultés !
Dans ces conditions, les « soupçons » peuvent-ils vraiment disparaître ?
Certes, « n'est-ce pas dans le cyclisme, le cyclisme d'abord, surtout,
qu'est menée, avec obstination, courage, la lutte contre le dopage ? »
Bien que cet argument soit avancé en guise d'explication défensive,
Il n'en est pas moins réel, moins pertinent, moins éloquent ?
Qui prétendrait, avec l'assurance du bon sens, que, seul, unique,
ce secteur sportif soit effectivement touché, contaminé par ce phénomène ?
L'unanimité, comme lors de quelques récentes discussions à plusieurs,
ne se réalise-t-elle pas immédiatement au contraire sur le fait, entendu,
que nombre de sportifs d'autres disciplines y sont confrontés ?
Sans parler des performances intrinsèques, au vu du changement,
souvent très rapide, de la morphologie de certains athlètes,
comment ne pas rester rêveur, ne pas s'interroger sur l'abus de « quintonine » ?
Espérons tout de même que cette « grande boucle » restera bouclée...
et que l'actualité, après délais, ne la rattrapera pas...