Rêver... pour savoir aussi dire non
« J'ai fait un rêve... »
Parole ! Paroles ! Certes. Et pourtant... un réel puissant symbole
contre toute ségrégation raciale et le refus de toute discrimination,
pour les droits de toutes les minorités ethniques d'ici et là,
pour la liberté et l'égalité de tous quelle que soit la couleur de peau.
Symbole d'espoirs donc... déjà à l'époque comme encore aujourd'hui...
Justement n'est-ce pas le jour du 45ème anniversaire de ce célèbre discours
du pasteur Martin Luther King, de la communauté noire américaine,
que Barak Obana, candidat démocrate à la Maison blanche,
a prononcé, à Devers (Colorado), lors de la convention de son parti,
sa première grande intervention d'acceptation de son investiture ?
Un événement... car il peut devenir le premier Président noir
des Etats Unis d'Amérique c'est-à-dire de la première superpuissance.
Il peut... mais rien, naturellement, n'est moins sûr. Attendons...
Sa jeunesse, son charisme même, ne suffiront pas à son élection.
Mais si cela se produisait, quel « choc » ! Un tsunami politique, social.
La face du monde en serait-elle changée ? A n'en pas douter...
Un peu... beaucoup... Point d'interrogation... bien que ce changement
n'entraînerait ni incroyables bouleversements ni a fortiori révolution.
Cela dit, qui ne souhaiterait qu'un de ses rêves n'ait une telle force ?
Et qui ne s’enthousiasmerait pour croire, comme dans tout rêve mirifique,
à un monde meilleur qui permettrait un complet épanouissement de chacun,
à une réalité économique qui respecterait autant les plus faibles que les forts,
à une qualité de vie environnementale qui sauvegarderait l'avenir de la planète,
à une vision pacifique, juste, équilibrée des relations étatiques, diplomatiques ?
Oui, il y a encore de quoi rêver... pour aussi savoir dire non !
Parole ! Paroles ! Certes. Et pourtant... un réel puissant symbole
contre toute ségrégation raciale et le refus de toute discrimination,
pour les droits de toutes les minorités ethniques d'ici et là,
pour la liberté et l'égalité de tous quelle que soit la couleur de peau.
Symbole d'espoirs donc... déjà à l'époque comme encore aujourd'hui...
Justement n'est-ce pas le jour du 45ème anniversaire de ce célèbre discours
du pasteur Martin Luther King, de la communauté noire américaine,
que Barak Obana, candidat démocrate à la Maison blanche,
a prononcé, à Devers (Colorado), lors de la convention de son parti,
sa première grande intervention d'acceptation de son investiture ?
Un événement... car il peut devenir le premier Président noir
des Etats Unis d'Amérique c'est-à-dire de la première superpuissance.
Il peut... mais rien, naturellement, n'est moins sûr. Attendons...
Sa jeunesse, son charisme même, ne suffiront pas à son élection.
Mais si cela se produisait, quel « choc » ! Un tsunami politique, social.
La face du monde en serait-elle changée ? A n'en pas douter...
Un peu... beaucoup... Point d'interrogation... bien que ce changement
n'entraînerait ni incroyables bouleversements ni a fortiori révolution.
Cela dit, qui ne souhaiterait qu'un de ses rêves n'ait une telle force ?
Et qui ne s’enthousiasmerait pour croire, comme dans tout rêve mirifique,
à un monde meilleur qui permettrait un complet épanouissement de chacun,
à une réalité économique qui respecterait autant les plus faibles que les forts,
à une qualité de vie environnementale qui sauvegarderait l'avenir de la planète,
à une vision pacifique, juste, équilibrée des relations étatiques, diplomatiques ?
Oui, il y a encore de quoi rêver... pour aussi savoir dire non !