Il n'est jamais trop tard pour mieux faire
Voici venu le temps, comme chaque année, des universités d'été
que tiennent, à la veille de la rentrée, tous les partis politiques.
« Université d'été : Rassemblement de militants et de responsables
d'un mouvement politique, réunis, pendant quelques jours,
pour l'étude organisée de certaines questions. »
Si les mots ont encore un sens, en voilà un fort bien choisi
et qui, pour cette simple raison sans doute, a fait florès.
Ces rencontres devaient permettre, studieusement, collectivement,
de débattre, échanger, approfondir telle ou telle question de fond.
Le monde évoluant, les choses changeant, les situations se modifiant,
le politique se doit, pour réagir au mieux pour l'intérêt général,
pour le pays dont il a la charge ou qu'il entend, espère, à son tour, diriger,
de prendre en compte toutes ces évolutions régionales comme mondiales
pour adapter sa vision, de près comme de loin, et anticiper son action.
Dès lors, quoi de plus fructueux que de tenter de synthétiser une position
à partir de regards multiples, différents, contradictoires, pertinents ?
Hélas, aujourd'hui, celle des socialistes, n'est plus qu'une « guerre des chefs »,
une lutte interne entre les prétendants au poste de Premier Secrétaire,
une singulière et navrante chronique de règlements de comptes,
bref, une cruelle et mortifère conception de la responsabilité démocratique.
Pauvre gauche (de gouvernement) ! Faut-il en rire ou en pleurer ?
Quant à la gauche de la gauche, nous comptons le Nouveau Parti Anticapitaliste,
le PCF et les verts qu'un « noniste » patenté vient de rejoindre. Qu'y comprendre ?
Pourtant des millions de citoyens attendent de la gauche un projet novateur,
une offre de réelle alternative pour demain au pouvoir actuellement en place
dont la politique menée favorise globalement les couches déjà les plus aisées.
A quand ? L'espoir fait vivre... et il n'est jamais trop tard pour mieux faire.
que tiennent, à la veille de la rentrée, tous les partis politiques.
« Université d'été : Rassemblement de militants et de responsables
d'un mouvement politique, réunis, pendant quelques jours,
pour l'étude organisée de certaines questions. »
Si les mots ont encore un sens, en voilà un fort bien choisi
et qui, pour cette simple raison sans doute, a fait florès.
Ces rencontres devaient permettre, studieusement, collectivement,
de débattre, échanger, approfondir telle ou telle question de fond.
Le monde évoluant, les choses changeant, les situations se modifiant,
le politique se doit, pour réagir au mieux pour l'intérêt général,
pour le pays dont il a la charge ou qu'il entend, espère, à son tour, diriger,
de prendre en compte toutes ces évolutions régionales comme mondiales
pour adapter sa vision, de près comme de loin, et anticiper son action.
Dès lors, quoi de plus fructueux que de tenter de synthétiser une position
à partir de regards multiples, différents, contradictoires, pertinents ?
Hélas, aujourd'hui, celle des socialistes, n'est plus qu'une « guerre des chefs »,
une lutte interne entre les prétendants au poste de Premier Secrétaire,
une singulière et navrante chronique de règlements de comptes,
bref, une cruelle et mortifère conception de la responsabilité démocratique.
Pauvre gauche (de gouvernement) ! Faut-il en rire ou en pleurer ?
Quant à la gauche de la gauche, nous comptons le Nouveau Parti Anticapitaliste,
le PCF et les verts qu'un « noniste » patenté vient de rejoindre. Qu'y comprendre ?
Pourtant des millions de citoyens attendent de la gauche un projet novateur,
une offre de réelle alternative pour demain au pouvoir actuellement en place
dont la politique menée favorise globalement les couches déjà les plus aisées.
A quand ? L'espoir fait vivre... et il n'est jamais trop tard pour mieux faire.