Lettre ouverte à Monsieur le Ministre de l'Education nationale
Monsieur le Ministre de l'Education nationale,
Je me permets de vous écrire cette lettre que vous ne lirez sûrement pas...
mais je comprends... vos fonctions, surtout en ces jours de rentrée,
vous absorbant complètement pour mener au mieux la politique, difficile,
voulue, définie, par Monsieur le Président de la République.
Pourtant, acceptez, Monsieur, que je vous fasse part, humblement,
d'un simple constat qui m'a réellement surpris et, je le reconnais volontiers,
que je trouve profondément inquiétant car j'y décèle une vraie régression.
Evidemment, il ne corrobore pas vos propos optimistes de la rentrée
qui se serait naturellement « bien passée »... ici et là.
De ma province profonde, j'ai accueilli en effet, avec beaucoup d'incrédulité,
l'information que l'aîné de nos deux petits-fils se retrouve, en primaire,
au cours élémentaire première année dans une classe à double niveau...
et, ceci, dans une grande ville de la proche banlieue parisienne.
Assez étonnant, non ? En ville et non dans un petit village perdu de montagne !
Croire ou laisser croire qu'une réduction massive de postes d'enseignants
n'a pas de graves conséquences sur le terrain fait, sans doute,
partie d'une bonne communication du Ministère mais ne reflète pas,
à l'évidence, l'exacte et multiple réalité dans les classes, toujours primaires
pour ne se cantonner qu'au niveau de l'école fondamentale, de toutes les bases.
Bien sûr, je suppose que vous me démontreriez les avantages, nombreux,
incomparables que représente pour les plus jeunes élèves la « chance »
d'apprendre, de se former, à longueur de journée, avec des plus grands...
Formidable ! D'ailleurs comme tout écolier, le "nôtre" étant particulièrement
intelligent, attentif, volontaire, curieux, bénéficiera, lui aussi comme beaucoup,
au fil des mois, de ce contexte particulier et apportera très régulièrement
à ses parents encore de bons résultats et de plus en plus excellents.
Que demande le peuple ? Une « bonne » politique éducative pour tous !
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Ministre de l'Education nationale,
l'expression de mes profonds sentiments respectueux.
Je me permets de vous écrire cette lettre que vous ne lirez sûrement pas...
mais je comprends... vos fonctions, surtout en ces jours de rentrée,
vous absorbant complètement pour mener au mieux la politique, difficile,
voulue, définie, par Monsieur le Président de la République.
Pourtant, acceptez, Monsieur, que je vous fasse part, humblement,
d'un simple constat qui m'a réellement surpris et, je le reconnais volontiers,
que je trouve profondément inquiétant car j'y décèle une vraie régression.
Evidemment, il ne corrobore pas vos propos optimistes de la rentrée
qui se serait naturellement « bien passée »... ici et là.
De ma province profonde, j'ai accueilli en effet, avec beaucoup d'incrédulité,
l'information que l'aîné de nos deux petits-fils se retrouve, en primaire,
au cours élémentaire première année dans une classe à double niveau...
et, ceci, dans une grande ville de la proche banlieue parisienne.
Assez étonnant, non ? En ville et non dans un petit village perdu de montagne !
Croire ou laisser croire qu'une réduction massive de postes d'enseignants
n'a pas de graves conséquences sur le terrain fait, sans doute,
partie d'une bonne communication du Ministère mais ne reflète pas,
à l'évidence, l'exacte et multiple réalité dans les classes, toujours primaires
pour ne se cantonner qu'au niveau de l'école fondamentale, de toutes les bases.
Bien sûr, je suppose que vous me démontreriez les avantages, nombreux,
incomparables que représente pour les plus jeunes élèves la « chance »
d'apprendre, de se former, à longueur de journée, avec des plus grands...
Formidable ! D'ailleurs comme tout écolier, le "nôtre" étant particulièrement
intelligent, attentif, volontaire, curieux, bénéficiera, lui aussi comme beaucoup,
au fil des mois, de ce contexte particulier et apportera très régulièrement
à ses parents encore de bons résultats et de plus en plus excellents.
Que demande le peuple ? Une « bonne » politique éducative pour tous !
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Ministre de l'Education nationale,
l'expression de mes profonds sentiments respectueux.