A cheval sur les mots !

Publié le par M. G.


Aujourd'hui, M. Ronchon est à cheval sur les mots. Le respect du vocabulaire est une de ses chasses gardées.

 En voici deux exemples :


La papillote adéenne, marche festive de grande ampleur ; d'où vient le mot « papillote » ?


En regardant sur le petit Robert, qui est reconnu dans les milieux littéraires :

On trouve 3 définitions :

1- paillette d'or ou d'argent sur une étoffe.

2-bigoudi de papier - un écrit bon à jeter.

3-papier servant d'enveloppe à un bonbon. En cuisine, papier d'aluminium enveloppant certains poissons, légumes ou viandes à cuire au four ou à la vapeur.


Conclusion :

 Rien à voir donc, avec le papillon et ses ailes, qui symbolisent les trajets de la balade festive ! ( Julos, Bartrès, Lanne/Bénac et Ossun). Mais, M. Ronchon reconnaît forcément que la symbolique est belle.


Le festival « Carapatte » :

Évènement  théâtral pour enfants ayant lieu à la fin juin, à Adé cette année, sur 3 jours.

Définition de « carapate » dans le petit Robert :

 de « patte », et « se carrer » : se cacher : action de s'en aller vivement, s'enfuir, décamper, se sauver.

Foin de « carapate » avec 2 « t » !


Sur le WEB, on trouve :

Le carapatte (pédibus) : caravane d'enfants qui déambule sur le chemin de l'école. Il rappelle  le verbe se carapater pour surtout quitter le domicile familial et apprendre la vie ensemble en se rendant à l'école. C'est une façon imagée de décrire un bus qui privilégie la marche à pied et fonctionne à l'énergie humaine. 

M. Ronchon aime et recommande, par extension,  l'idée du carapatte pour l'école ; ça noue des contacts entre les enfants, c'est un acte social.

Il faut savoir qu'ici, pour le théâtre, Carapatte est le nom attribué à la sorcière qui symbolise le festival.


A priori, M. Ronchon se sent mieux, après ces explications qui ont le mérite de clarifier la situation.


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