A Jean FERRAT (suite)
A mon « Maître » du cœur
Tatouée dans mon cœur qui pleure et qui a froid
A la disparition du poète Ferrat.
Son regard, son sourire ont perdu leur éclat
Et sa plume asséchée ne ressent plus d’émoi
Elle est tarie la source et la Volane pleure
Le grand Maître des lieux, ardéchois par le cœur.
Au pied de sa montagne, qu’il repose en paix …
A apaisé mon cœur au son de sa musique
Ce père spirituel était pour moi Unique.
A Dieu toi, mon idole et mon inspirateur
Ton enfance blessée par une flèche au cœur
Que ce soir hivernal t’accorde l’armistice.
Samedi 13 mars 2010.