La maladie
Poème précédent : Une porte ouverte…
Elle est soudaine
Vite tout s’enchaîne
Analyses qui restent vaines
Avec une issue incertaine.
Elle fragilise
Le corps qu’elle utilise,
S’y acharne avant qu’on réalise
Comment elle a pu être transmise.
Elle s’implante,
Le corps combat son intrusion violente,
Rapide et envahissante
Avec conviction contre toute attente.
Elle démoralise,
Le corps s’affaiblit et part à la dérive,
Alors l’inquiétude est vive
Et tout est perçu avec hantise.
Elle coupe l’élan de la vie,
Le corps est meurtri,
Amène de grands soucis
A un moment inattendu de la vie.
Elle est repoussée,
Le corps voit sa souffrance allégée
Après de dures journées
Mais pour combien de temps, on ne sait.
Elle a de grandes exigences,
La combattre est l’intransigeance
Alors avec un regain de confiance
Renaît l’espérance.