poetiques

J’ai besoin que tes bras, ton souffle et ta chaleur Me comblent de tendresse en remplissant mon cœur De cette nourriture affective et morale Nécessaire à ma vie bien souvent mise à mal. J’ai besoin de sentir ta peau contre ma peau Touchée par le plaisir...

Qui conduit à l’école Lorsqu’arrive le moment, tout un symbole, D’apprendre, sans envie folle, Pour avancer avec son temps, véritable école. Qui guide pour s’assurer un métier Lorsqu’à dix huit ans on tient à s’affirmer A la personne dite son aînée Pour...

Je te vois dans la mer âme cyclothymique Faisant rimer les vagues en ondes poétiques Toujours imprévisible, surprenant, palpitant Et dont le ciel te dicte les sept couleurs du temps. Quand ta nature souffre de propos viciés Mon cœur éploré saigne dans...

La peur au quotidien Pour soi-même et les siens Du qu’en dira-t-on et les liens Alors qu’on agit pour le bien. La peur du vide Dans une maison en plus humide Qui laisse livide L’âme qui y réside. La peur des animaux Réflexe qui n’est pas nouveau Et pourtant...

Par ses ocres fragiles la nature est en deuil Roussie par les nuits fraîches et la pâleur du jour Elle enterre l’été d’un fouissement de feuilles Tout fane, tout se meurt, tout décline alentours. La lune délavée me rend mélancolique Le soleil lumineux...

Poème précédent : S'abandonner... Elle est la cause de journées pesantes Douloureuses, par manque de présence vivante De contrainte poignante Du silence et des voix absentes. Elle est la cause de peurs constantes Liées à des bruits confus et de façon...

Poème précédent : Le temps qui passe A la belle saison notre humeur vacancière Accorde un lâcher prise sur nos corps fatigués Le farniente détend, apaise, nous libère Des rituels aliénants, des rythmes effrénés. Sur nos corps dénudés l’eau fraîche désaltère...

Poème précédent : Sentiment d’incomplétude La jeunesse permet le choix dans les loisirs Pour satisfaire pleinement nos plaisirs. On se forge un rythme à maintenir Et on s’adonne sans faiblir A la pratique du sport préféré Qui permet de s’épanouir en société....

Poème précédent : Vivre J’ai fredonné la vie, l’amour, la mer, la terre Conjuguer le présent, l’avenir, le passé Parsemés d’un bonheur accroc de liberté… Mais sais-tu ô combien la mort et ses mystères Me taraude et m’obsède, m’angoisse et me fait peur...

Vivre avec plénitude sa vie Ne pas tenir compte du on dit Ou du jeter de l’interdit Qu’un certain prescrit. Vivre pour réaliser ses désirs Et croire en l’avenir Etre prévenant pour faire plaisir Comme pour ennoblir. Vivre pour témoigner de sa confiance...