A propos de la Coupe du monde…

Publié le par J. C.

 

Coupe du monde de football 2010 : c’est parti ! La dix-neuvième du genre !

Pendant tout un mois,-la finale se déroulera le dimanche 11 juillet

à Johannesburg (Afrique du Sud)-, elle fera l’actualité dans les médias !

Et images et commentaires éclipseront quasiment les autres infos !

Tous les passionnés du ballon rond seront donc, eux, à la fête ! 

Et quelle fête ! Du début au 25 juin, trois ou quatre matches par jour !

Puis suivront, à partir des 1/8, les phases finales jusqu’au grand jour.

Et de par le monde, l’évènement étant véritablement  planétaire,

(208 pays sont affiliés à la FIFA : Fédération Internationale de Football Association

plus -16 de plus- qu’à l’O N U : Organisation des Nations Unies),

des gamins s’identifieront à leurs idoles, rêveront de devenir, à leur tour,

des champions avec l’aura et les attributs que procure la célébrité.

Comment l’enfant qui aime ce jeu, qui y joue (même sans vrai ballon),

pourrait-il échapper à de tels fantasmes, à de tels rêves même insensés ?

D’ailleurs, de quoi rêve-t-il ? De gloire ? En réalité, elle est souvent éphémère.

D’argent ? De gains importants, excessifs, exorbitants et qui, aux citoyens,

finissent par paraître bien indécents au regard des niveaux de vie moyens ?

C’est vrai, le « business » fonctionne à merveille.  Et, sans prendre de risques,

il est facile de désigner dès maintenant le premier des vainqueurs : la FIFA

car, en particulier, les droits de retransmission des télévisions « ont rapporté gros ».

L’équipe de France y participe et figure parmi les trente deux nations qualifiées.

Mais les joueurs sélectionnés, les « bleus », devront, rapidement, faire leur preuve,

les matches de préparation ayant apporté plutôt doute et scepticisme.

De son côté, l’entraîneur qui, après ses déconvenues passées, aurait dû,

de lui-même, céder sa place, a à reconquérir la sympathie des supporters.

C’est toute l’incertitude du sport avec les irrémédiables conséquences des résultats !

Pourtant ce sport d'équipe qui a évidemment ses adeptes comme ses détracteurs,

peut être aussi, pour les jeunes, une bonne  « école » de vie :

apprentissages des règles, droits, devoirs, respect, solidarité…

Allez les « Bleus » mais, au final, sans chauvinisme aucun, que le meilleur gagne !

 

 

 

Publié dans citoyens

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