La plume
De gauche à droite, 6 : Angélique, 7 Pépita, 8 Lucienne
PORTRAIT d’Angélique : elle est chargée de la basse-cour, des moutons, de la cuisine et du ménage. Elle est très nature, elle ne se pose pas beaucoup de questions, mais elle est plus futée qu’il n’y paraît !
EXTRAIT « Angélique : Ce n’est pas un coq qui aura le dernier mot. Angélique sort d’un air décidé et tout le monde se regarde d’un air inquiet »
sur une injonction de sa sœur aînée Lucienne,
PORTRAIT de Lucienne, l’aînée, s’occupe de la gestion du gîte ; et de l’accueil des touristes. C’est une femme d’âge mûr, très maquillée, un peu vulgaire dans sa manière de s’habiller, et qui a de beaux restes.
EXTRAIT « Lucienne : Une bonne garbure est en train de mijoter à la cuisine. Ah, au fait, Angélique, je n’avais prévu qu’un poulet pour ce soir. Mais ça va faire un peu juste. Va m’en chercher un autre au poulailler. »
Durant la « scène de la plume », Pépita,
PORTRAIT de Pépita, elle est d’origine espagnole. Depuis de nombreuses années, elle habite Pau où elle enseigne le flamenco et le tango argentin. C’est une râleuse. Elle est hypocondriaque et ne se sépare jamais d’une boîte à pharmacie impressionnante.
MADO se met à rire toute seule, figée, car elle a REELLEMENT une plume coincée dans le gosier !
EXTRAIT : « Pépita : Qué si ! Qué tristessa ! Pauvre bête ! Mais y aime beaucoup le poulet rôti avec las patatas fritas. »
L’anecdote est authentique, elle se passe à CHELLE DEBAT lors du festival de théâtre amateur un 27 octobre 2015.
Mado n’oubliera pas de sitôt, cet épisode comique, ses partenaires et le public non plus d’ailleurs…